Articles de carole-mette
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Rétrospective de l'année 2023 pour les paramédicaux en cardiologie et perspectives
- Par carole-mette
- Le 04/01/2024
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Carole Mette, Infirmière en rythmologie interventionnelle, Centre Cardiologique du Nord, Saint Denis
Janvier 2024,
L’année écoulée fut riche de projets divers et innovants comme bien souvent en cardiologie.
Elle a vu notamment apparaitre l’entrée dans le droit commun de la télésurveillance, le développement de protocoles de coopération locaux et d’expérimentations.
Les débuts de la refonte du métier d’infirmier font également de 2023 une année porteuse d’espoir. Nous attendons une formation socle plus solide en cardiologie car c'est un secteur vaste, diversifié et évolutif ainsi que la création d’une formation reconnue en cardiologie et rythmologie interventionnelle.
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Inscriptions pour les JESFC 2024
- Par carole-mette
- Le 20/11/2023
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Chers Amis, Chers Collègues,
Cette année, les paramédicaux en formation universitaire (IPA, DU...) pourront bénéficier d'une inscription gratuite aux Journées Européennes de la SFC.
Il faudra bien évidemment justifier l'inscription à une formation universitaire.
Alors n'hésitez pas à venir participer à ce congrès incontournable de la cardiologie, c'est une opportunité à ne pas rater !
Bien cordialement,
Carole Mette
Présidente du Collège des paramédicaux
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Personne de confiance et directives anticipées
- Par carole-mette
- Le 21/09/2023
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Monique Lespes, Infirmière retraitée du CHU Henri Mondor, Créteil
Septembre 2023
Lors de l’hospitalisation d’un patient, il est légitime de l’informer sur ses droits.
En effet la loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 du Code de la Santé Publique et relative « aux droits des malades et à la qualité de vie du système de Santé », stipule le droit du patient de nommer une Personne de Confiance et de rédiger ses Directives Anticipées.
Ainsi le patient a le droit d’écrire ces deux documents en toute liberté, même si ce n’est pas obligatoire.
En Cardiologie cela a son sens car certains patients en insuffisance cardiaque ou dans certaines pathologies structurelles souhaitent, en fin de vie, pouvoir émettre leurs volontés.
